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Ici, Grand Corps Malade expose la raison de son attachement à la ville, qu’il définit comme un lieu de foule, loin de l’idée habituelle de solitude qui se rattache à la ville moderne. Il en donne une image caractérisée par la multitude. La ville est ainsi définie par la quantité de ses habitants plutôt que par son architecture. Grand Corps Malade veut, par son texte, donner vie à l’atmosphère urbaine qu’il aime pour que son auditoire la (re)découvre et partage, dans sa lecture et dans sa vie, cette fascination. Pour cela, il use de tous ses sens pour donner à voir ce qu’il aime dans sa ville :
– le toucher : « je ressens le cœur de la ville qui cogne dans ma poitrine », « je ressens ça à chaque heure et jusqu’au bout de mes phalanges » ;
– l’ouïe : « J’entends les sirènes qui résonnent », « le murmure de la rue », « bruit », « les rires et les cris », « je veux que ça claque et que ça sonne » ;
– l’odorat : « l’odeur de l’essence » ;
– la vue : « croiser du mouvement et des visages », « voir un brin de poésie », « quand on le regarde dans les yeux ».